Mécanismes de règlement d'émotions
27 Oct 2016
Le psychologue Dr Doping parle des phobies, la suppression d'émotions et la réévaluation cognitive de la situation. Quelles sont les stratégies que nous utilisons pour influencer leur propre état ? Laquelle de ces stratégies est la plus efficace ? Qu'est-ce qui peut provoquer l'évasion d'émotions négatives ?
Le règlement d'émotions est un ensemble de processus mentaux qui se fortifient, s'affaiblissent ou gardé à la même intensité de niveau et à la qualité des réactions émotionnelles et expose des droits. Le scientifique de Stanford réglementaire d'émotion de chercheur moderne James Gross propose de considérer le règlement d'émotions comme un processus, c'est-à-dire le déploiement d'efforts de contrôle à temps et comme une propriété, c'est-à-dire les caractéristiques individuelles qui sont inhérentes dans un individu donné dans le règlement d'états émotionnels.
Les gens ont contrôlé en choisissant et dans une certaine mesure contrôler ces situations qui vous permettent d'accomplir toutes émotions positives ou éviter le négatif. Dans ce sens, nous dirigeons dans une certaine mesure nos vies. Que le problème est-il vu ? En évitant des émotions négatives auxquelles nous aspirons tous les individus mènent au fait que le début pour éviter un grand nombre de situations et c'est la voie aux abus, que dans la psychologie clinique et la psychiatrie on appelle des phobies. Cela doit éviter les situations qui provoquent la peur, au détriment d'un peu de comportement déterminé visé à l'accomplissement de quelques buts à long terme.
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Il y a une grande partie des gens qui connaissent des émotions négatives, en essayant de faire semblants que rien n'arrive. Et ils le font par rapport à eux-mêmes et à d'autres individus. Autant que fonctionnel pour la personne cette stratégie ? D'une part, effectivement, les émotions quelquefois négatives détruisent ou perturbent quelques processus visés qui ne perturbent pas important. D'autre part, les émotions réprimées, comme le spectacle d'études, restent dans le corps. C'est-à-dire, les gens qui n'expriment pas leurs émotions, en les connaissant montrent en même temps la haute réactivité physiologique. La suppression d'émotion n'élimine pas la réponse physiologique, il reste au même niveau et ainsi, la réaction physiologique qui ne peut pas être exprimée extérieurement, est un facteur de désordres psychosomatiques.